Amener la beauté et l’authenticité par la musique, un pari réussi

Publié par LaVieCali le



Pour son 10e album studio, Cali revient aux sources. D’une chanson à l’autre, les guitares acoustiques, les violons, les sonorités empreintes de rock, mais aussi parfois de country s’entremêlent. Elles s’habillent de jolis textes pleins de vie. Dans un monde où tout va vite, Cali a voulu prendre son temps. Et surtout être authentique. Le résultat de ce travail s’appelle « Ces jours qu’on a presque oubliés ». Un album vrai, et cela fait beaucoup de bien.



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Un travail de famille : la musique, avant tout une histoire de cœur

Enregistré dans son studio habituel à Rivesaltes, ce nouvel album réunit les plus fidèles amis de Cali, comme Steve Wickham au violon ou Melody Giot au violoncelle, sans oublier Julien Lebart aux claviers.

Pour donner vie à ces chansons écrites au cours des deux dernières années, Cali a décidé de tout enregistrer en une seule prise. Pour lui, les imperfections n’en sont pas : ce sont elles qui donnent de la vie à la musique, et qui permettent de conserver la première émotion d’une prise. Une première émotion qu’on ne peut pas retrouver sur un 2e, 3e ou un 5e essai.





Et puisque Cali a su réunir autour de lui d’excellents musiciens, le résultat n’a rien d’un premier jet. Tous les instruments jouent de manière harmonieuse, chacun apporte sa note d’émotion, de fête parfois. Cali n’a pas besoin de tricher : c’est dans le vrai qu’il se montre le plus touchant.

Pour la première fois en 20 ans de carrière, Cali est également producteur de cet album, via le label « BCBA Music » qu’il a créé et qu’il co-détient (à 50/50) avec son ami d’enfance, agent et associé Bruno Buzan (Bubu). Ce choix du cœur lui a offert une liberté totale dans tous ses choix, tant artistiques que techniques et collaboratifs. Par exemple, c’est grâce à ce mode de fonctionnement familial qu’il a pu choisir Fernand comme Directeur artistique images et clips et Julien Lebart en ingénieur du son et co-réalisateur.



La force de la musique et de la poésie pour créer du lien

Une fois l’album « Ces jours presque oubliés » découvert, on se sent étonnamment proche de Cali, comme s’il avait chanté ces titres juste à côté de nous, au coin du feu. Par rapport à un véritable concert, l’écoute d’un simple disque paraît souvent assez froide, elle crée une forme de distance naturelle et même logique.

Cette « distance » s’amenuise avec des albums comme « Ces jours qu’on a presque oubliés », ces albums dans lesquels l’artiste se met à nu, laisse les artifices de côté et murmure directement à l’oreille de son auditeur.



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