La révolte et l’amour fou de Cali, une création vibrante d’émotions

Publié par LaVieCali le

Accompagné du guitariste catalan Pierre-André de Vera, Cali déshabille et rhabille ses chansons dans un spectacle inédit, nu et vibrant. Sur scène, la révolte et l’amour fou deviennent de vrais prétextes pour sortir des sentiers battus, oser tous les hommages et repousser encore plus loin les frontières de la création. Dans un format où l’authenticité et la prise de risque sont moteurs, ce spectacle qui va faire le tour de la France se présente comme un moment rare et suspendu, où tout peut arriver ou presque !

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Révoltes & amour fou, deux thèmes porteurs de sens pour un spectacle sans filtre

Ce nouveau format place les textes des chansons au centre de l’expérience, avec les guitares de Cali et Pierre-André de Vera qui dialoguent comme fil conducteur. Il offre à Cali l’opportunité de mettre en valeur ses chansons composées dans un sentiment proche de la révolte, ou qui traitent de l’amour de manière plus générale… Sans se fermer la porte à d’autres thématiques, dans la mesure où Cali se réinvente continuellement et ne ferme jamais la porte à l’inattendu. Délicieusement imprévisible, il mène son public sur différents chemins, tissant comme toujours cette complicité sincère et authentique qui rend le moment encore plus fort.

Au cœur d’un corpus de textes minutieusement choisis, on apprécie tout particulièrement la saveur de titres profonds comme « L’espoir » et son message galvanisant, mais aussi « L’exil » ou « Pas la guerre », entre autres, tristement d’actualité.

Comme des réponses à ses propres chansons, Cali et son acolyte Pierre-André de Vera viennent aussi convoquer des géants à la fête : Léo Ferré, Bruce Springsteen, The Clash ou même Patti Smith et U2 pour un « Sunday Bloody Sunday » immédiatement repris en chœur par le public.

Peu importe la notoriété du titre choisi, sur scène et dans la salle, tout est affaire de lien. La scène devient l’espace libre d’un partage sans artifice. Ainsi, qu’il s’agisse de ses chansons ou des reprises, Cali parvient dans tous les cas à maintenir un lien fort et une vraie relation de proximité avec le public. Entre lui et la scène, aucune frontière, juste un partage brut, sincère et sans faux-semblants.

 

Un travail musical ambitieux, porté par deux guitares en harmonie totale

Jusqu’ici, Cali nous avait habitués à des shows acoustiques souvent ponctués de piano, avec une guitare toujours présente, mais pas forcément dominante. Ce spectacle change totalement de perspective, puisqu’il s’agit ici de partager la scène entre deux guitaristes, Cali et Pierre-André de Vera.

Cette configuration inédite enrichit les mélodies de Cali, qu’on redécouvre sous un autre angle. Extrêmement doué, Pierre-André de Vera excelle dans son rôle et amène finesse et relief aux titres de Cali, laissant glisser ses doigts sur la guitare ou le luth avec une fluidité et une aisance surprenantes.

Majestueux dans son rôle consistant à sublimer les chansons, ce duo leur injecte tantôt de la douceur et tantôt de la rage, leur permettant de rayonner par leurs paroles et leur poésie.

L’humanité au cœur d’un spectacle dont on ne sort pas intact

Entre ses chansons aussi émouvantes que « Giuseppe et Maria » ou « Madame Butterfly » et des titres plus enjoués tels « Le cœur chargé comme un fusil » ou l’incontournable « 1 000 cœurs debout » / « Elle m’a dit », Cali joue sur toutes les émotions, offrant à son public une palette complète entre la colère et l’indignation, mais également l’espoir et l’amour.

N’hésitant pas à bousculer les repères, il partage des morceaux encore griffonnés sur des feuilles froissées. Dans un titre où il s’adresse à son père « là-haut », il évoque la brutalité du monde et s’attriste de l’imaginer, de là où il est, voir nos guerres et nos fascismes toujours si présents.

Entre les chansons, il exprime avec générosité et sincérité ses pensées, ses convictions. Armé de sa guitare sur laquelle on peut lire « This machine kills fascists » (clin d’œil à Woody Guthrie), il chante et se révolte sur les sujets qui le touchent et nous concernent tous. Et notamment les guerres, les violences, les fascismes à travers le monde. Il porte ces combats avec poésie, en toute humilité.

 

Musique, poésie, révolte et amour fou : dans son nouveau spectacle, Cali n’enferme rien et libère tout. Comme à son habitude, il séduit le public par sa sincérité et son humanisme… Sans oublier d’embarquer le public dès les premières notes et de maintenir avec lui ce lien si fort qui caractérise son approche depuis tant d’années.

 


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